Fermeture Marais, merci les cabots et pardon !
Actualité publié le 27/01/2019
C'était la fermeture pour nous au marais ce mercredi et quelle journée, la plus belle !
Je disais encore, le week-end dernier aux copains que la bécassine c'était très dur voir très très dur. Je connais pas beaucoup, j'essaye mais est-ce que j'ai les chiens pour ? Je leur disais que c'était les "N" qui s'en sortaient encore le mieux, que j'avais quelques arrêts mais beaucoup de becassines oubliées sur les parcours.
Pourquoi ? Les températures, les odeurs, le vent, ce terrain si ras ............. ou les chiens.
Eh bien, ils ont pas aimés que je doute d'eux.
La matinée commence avec Nana. Solo, le sol est gelé, l'eau verglacé, ça craque sous les pieds, 50 km/h de vent et trois degrés. Mlle se pose bien, rien pendant une vingtaine de minutes puis demi-tour pleine course. Deux oiseaux, bing-bing, loupé. On redémarre, une centaine de mètre plus loin, de nouveau punto, quatre décollent loin devant, Nana bouge pas, j'avance, ça part, bing-bing encore loupé. Désolé Nana. Rien ensuite et une Nana qui se met en mode grande quête, elle agrandit "grave", on dirait une "moto", l'eau vole derrière. On voit un point blanc et noir qui scintille au loin.
On rentre, petite collation, je me dis, eh ben c'est comme toute les autres sorties, pas beaucoup d'oiseaux mais cette fois tout est arrêté
. Merci Nana.
Je pars avec Jewel et Dago, papa et sa fille, quel beau couple, très belle démonstration de quête croisée et de complicité entre eux et entre eux et moi.
Je décide de changer de côté. Rien de rien pendant une bonne demie-heure. Et Madame GG qui ne connait pas les limites, rien l'empeche d'aller chercher où madame a décidé d'aller, va me sortir un volier d'oiseaux dans un blé. Eh ben, elles étaient planquées là les demoiselles. Merci GG parce que la suite a été un festival pour Dago et son gros "pif".
Six points pour les cabots, aucune bécassine mise en l'air, toutes arrêtées essentiellement par mon vieux : 5-1 Dago. Madame pas assez concentrée depuis un certain temps, les chaleurs arrivent certainement.
Jean-marc, le proprio de Noumba, disait sur son site que c'était ce qu'il y avait certainement de plus dur à tirer, eh ben c'est bien vrai. La cartouchière y est passée. Deux demoiselles prélevées quand même, une des marais et une sourde, impressionnant la différence de taille.
Jean-Marc si tu lis ces lignes, dommage que t'étais pas là, ça aurait encore été plus sympa avec toi et Noumba de la Rance Emeraude. Mais bon, t'avais une super excuse; tes petits jumeaux à aller voir à Strasbourg. Félcitations aux parents et grand-parents.
Ce sera pour l'année prochaine j'espère, parce que c'est sûr, on y retournera !

PS : La grande quête d'hiver doit être une sacré épreuve compte tenu des conditions climatiques; le marais c'est pas mal aussi pour les chiens et les hommes. Et le gibier, tout aussi difficile à prendre sûrement.
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Je disais encore, le week-end dernier aux copains que la bécassine c'était très dur voir très très dur. Je connais pas beaucoup, j'essaye mais est-ce que j'ai les chiens pour ? Je leur disais que c'était les "N" qui s'en sortaient encore le mieux, que j'avais quelques arrêts mais beaucoup de becassines oubliées sur les parcours.
Pourquoi ? Les températures, les odeurs, le vent, ce terrain si ras ............. ou les chiens.
Eh bien, ils ont pas aimés que je doute d'eux.
La matinée commence avec Nana. Solo, le sol est gelé, l'eau verglacé, ça craque sous les pieds, 50 km/h de vent et trois degrés. Mlle se pose bien, rien pendant une vingtaine de minutes puis demi-tour pleine course. Deux oiseaux, bing-bing, loupé. On redémarre, une centaine de mètre plus loin, de nouveau punto, quatre décollent loin devant, Nana bouge pas, j'avance, ça part, bing-bing encore loupé. Désolé Nana. Rien ensuite et une Nana qui se met en mode grande quête, elle agrandit "grave", on dirait une "moto", l'eau vole derrière. On voit un point blanc et noir qui scintille au loin.
On rentre, petite collation, je me dis, eh ben c'est comme toute les autres sorties, pas beaucoup d'oiseaux mais cette fois tout est arrêté


Je pars avec Jewel et Dago, papa et sa fille, quel beau couple, très belle démonstration de quête croisée et de complicité entre eux et entre eux et moi.
Je décide de changer de côté. Rien de rien pendant une bonne demie-heure. Et Madame GG qui ne connait pas les limites, rien l'empeche d'aller chercher où madame a décidé d'aller, va me sortir un volier d'oiseaux dans un blé. Eh ben, elles étaient planquées là les demoiselles. Merci GG parce que la suite a été un festival pour Dago et son gros "pif".
Six points pour les cabots, aucune bécassine mise en l'air, toutes arrêtées essentiellement par mon vieux : 5-1 Dago. Madame pas assez concentrée depuis un certain temps, les chaleurs arrivent certainement.
Jean-marc, le proprio de Noumba, disait sur son site que c'était ce qu'il y avait certainement de plus dur à tirer, eh ben c'est bien vrai. La cartouchière y est passée. Deux demoiselles prélevées quand même, une des marais et une sourde, impressionnant la différence de taille.
Jean-Marc si tu lis ces lignes, dommage que t'étais pas là, ça aurait encore été plus sympa avec toi et Noumba de la Rance Emeraude. Mais bon, t'avais une super excuse; tes petits jumeaux à aller voir à Strasbourg. Félcitations aux parents et grand-parents.

Ce sera pour l'année prochaine j'espère, parce que c'est sûr, on y retournera !

PS : La grande quête d'hiver doit être une sacré épreuve compte tenu des conditions climatiques; le marais c'est pas mal aussi pour les chiens et les hommes. Et le gibier, tout aussi difficile à prendre sûrement.